Une nouvelle technologie développée par des chercheurs de l’Université de Nottingham Trent permet d’étudier l’évolution de protéines simples 10 000 fois plus petits qu’un cheveu. Cette étude qui est la
Une nouvelle technologie développée par des chercheurs de l’Université de Nottingham Trent permet d’étudier l’évolution de protéines simples 10 000 fois plus petits qu’un cheveu. Cette étude qui est la